Eveil d'un matin d'été aux ciels brumeux,
Pastels venimeux de cette heure sans lueur,
Si féminine dans sa douceur,
trompeuse et faussement timide.

Le froid est encore palpable,
Et pourtant si prêt de se consumer comme la rosée.
Fuite en douceur sans préalables
Des événements passés.

Lorsque l'esprit éclairé par la Lune
Se pose en assassin de divines fées,
Son éclat, fait de mornes étincelles dans la brume
N'éclipsent que trop tard la réalité.

Angie, angie, quand ces nuages tous disparaîtront-ils ?
Angie, angie, d'où nous mènera-t-il d'ici ?
Sans aimer dans nos âmes et aucun argent dans des nos manteaux
 Vous parole biseautée avez été satisfaits
Mais angie, angie, vous parole biseautée que nous n'avons jamais essayée
Angie, youre beau, mais aint qu'elle temps nous a indiqué au revoir ?
Angie, je vous aime toujours, me rappelle toutes ces nuits où nous avons pleurées ?
Tous rêves que nous nous sommes tenus si proches semblés de tous entrent vers le haut dans la fumée
Me laisser chuchoter dans votre oreille :
Angie, angie, d'où nous mènera-t-elle d'ici ?
Ah, angie, vous ne pleurez pas, tous vos baisers goûtez toujours doux
Je déteste cette tristesse dans vos yeux 
Mais angie, angie, aint qu'il temps nous a indiqué au revoir ?
Sans aimer dans nos âmes et aucun argent dans des nos manteaux
Vous parole biseautée avez été satisfaits
Mais angie, je vous aime toujours, bébé
Regard d'Evrywhere I je vois vos yeux
Là aint une femme qui vient près de toi
Venez sur le bébé, sécher vos yeux 
Mais angie, angie, aint il bon pour être vivant ?
Angie, angie, ils biseautent la parole que nous n'avons jamais essayée