blogit.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

" Mon p'tit cocon "

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGIT

Entrez, osez, lachez vos commentaires !

Entrez, osez, lachez vos commentaires !

Blog dans la catégorie :
Moi

 

Annonce vocale

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

" Mon p'tit cocon "

Peace & Love ... faites l'amour, pas la guerre !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

Toutankhamon ... son histoire !!!

 

 

     

 

 



  "Ô ma mère Nout, étends tes ailes sur moi comme sur les étoiles impérissables". Telle est l'invocation que Toutankhamon fait graver sur le cercueil de son tombeau de la vallée sacrée des rois. Il supplie la divine Nout de l'accueillir dans son sein afin que son âme puisse rejoindre les bienheureux devenus étoiles dans le royaume des étoiles. Nout, c'est la mère des dieux, la déesse du Ciel et la protectrice des morts. Celle qui enfante chaque jour le soleil après avoir avalé les étoiles de la nuit. Que le sang d’Isis, le souffle magique d’Isis et la parole toute puissante d’Isis puissent protéger et garder l'enfant dieu pharaon, clame le livre égyptien des morts. Isis, c'est la déesse des déesses, la magicienne de l'univers, la fille de Nout, la soeur jumelle de la tendre Nephthys, épouse du seigneur des ténèbres. Toutankhaton naît en l'an 34 ou 35 du grand règne d'Amenophis III, neuvième roi de la 18e dynastie des pharaons du Nouvel Empire. Méfiant du puissant clergé d'Amon qu'il jugeait une véritable plaie d'Égypte, Amenophis III avait construit avant de mourir un temple pour le dieu Aton qu'il vénérait. Devenu pharaon, son fils Amenophis IV prend le nom d'Akhenaton, l'Esprit d'Aton, et ébranle les colonnes du temple Amon et des traditions séculaires en s'instituant souverain pontife de la nouvelle religion : Aton, dieu unique régnant sur toute la création. La reine Néfertiti, grande épouse royale du pharaon, en est la Grande Prêtresse. Ils construisent de toutes pièces une stupéfiante cité mystique, Akhet-Aton, ou Reflet d'Aton (Tell al-Amarna), qui devient la nouvelle capitale de l'immense empire d'Égypte. Ce rêve se heurtera aux dures réalités. La filiation de Toutankhaton est une énigme. Ce qui est sûr, c'est qu'il appartient à la branche de la maison royale. Son père est-il Amenophis III ? Ou Akhenaton ? Sa mère est-elle une simple épouse du harem royal, ou Tiyi, l'attachante grande veuve royale du pharaon Amenophis III, ou même Néfertiti ? Il semblerait que les parents de Toutankhaton soient Tiyi et Akhenaton. La ressemblance de Toutankhaton avec Tiyi, Akhenaton et Sémenkéré, frère ou demi-frère d'Akhenaton, est étonnante. L'enfant est confié à Maya, sa nourrice. Il vit ensuite sans contrainte au harem royal en compagnie des six petites princesses d'Akhenaton et de Néfertiti. Son éducation commence à 4 ans. Il se lève tôt le matin de son lit d'ébène et d'ivoire drapé de lin sous un plafond dessiné de colombes. Après les ablutions, il enfile son pagne et boit son lait dans un vase d'albâtre. Il s'assoit ensuite par terre en face du ménoïe (précepteur) dans la position du scribe accroupi pour s'initier à l'addition et la soustraction, l'unique arithmétique égyptienne, et aux arcanes de l'hiéroglyphe, cet art ingénieux de peindre la parole et de parler avec des images que Thot, dieu de l'intelligence, a appris aux hommes. Le ménoïe lui répète les immortelles maximes du scribe Ani, décalogue des petits Égyptiens. Pense toujours à ta mère ; puisse-t-elle n'avoir jamais à te blâmer ni à élever ses mains vers le dieu, et qu'il n'entende jamais sa plainte. Il lui serine aussi les enseignements du vizir Ptahatep» sur la civilité puérile : politesse, prudence, courage, habilité... Au collège, Toutankhaton se mêle aux enfants des nobles du royaume pour s'exercer à la gymnastique, à la nage, aux chevaux et aux armes, jusqu'à l'heure bénie de la récréation, où ils s'amusent avec des cubes de verre, crocodiles et grenouilles poupées, pions lions d'ivoire, balles papyrus, jeux de serpent, etc. Ces activités creusent l'estomac royal. Course à la grande salle des festins aux seize colonnes, où sur l'estrade s'assemblent Pharaon, la reine Néfertiti, les six bourdonnantes princesses, près de bassins foisonnant de poissons, de fleurs de lotus et d'herbes aquatiques sur fond de plantes, d'oiseaux et d'animaux exotiques. Il s'assoit sur son tabouret et pique goulûment les mets avec sa longue aiguille d'or, sous la brise de l'éventail de belligères, au son de chants, de flûtes, de mandolines. Toutankhaton s'émerveille de l'agilité des acrobates et de la pitrerie des nains. Le repas prend fin aux heures accablantes du jour. Les enfants se réfugient près du jet d'eau, à l'ombre de sycomores et d'acacias. Là, un vieillard ménoïe leur raconte de fabuleuses histoires sur la divinité des choses, telles qu'on les racontait avant la venue d'Aton. Récits, fables, légendes, contes populaires, exploits épiques, tout y passe, et les voix enfantines en redemandent. Toutankhaton fréquente plus tard la maison de vie, l'école des scribes et des magiciens, pour apprendre les dogmes royaux, l'unique loi égyptienne. Il accompagne la famille royale dans ses promenades dans la Cité : fêtes, spectacles de la rue, visites aux ateliers des artistes de la renaissance arménienne, les sculpteurs Thoutmès et Aouta, les orfèvres, les verriers, les potiers, les émailleurs, les architectes. Le soleil décline. C'est la grande heure. Le pharaon et la reine se dirigent en grande pompe au Temple. Les courtisans, mains sur les genoux, s'accroupissent sur le sol. Toutankhaton et les enfants royaux, trois plumes d'autruche sur la tête, se recueillent devant l'autel. Aucun rite sacrificiel mais musique, chant, offrande de fleurs, de fruits et d'encens. Vêtus de blanc, Akhenaton et Néfertiti psalmodient le grand hymne d'amour d'Aton. L'orage politique gronde à l'horizon. En l'an 1347 avant J.-C., Akhenaton meurt à 30 ans après une éprouvante maladie. La minute historique de Toutankhaton sonne : il monte sur le trône de la Haute et Basse Égypte à 9 ans, et prend pour reine et grande épouse royale, Ankhesenpaton, la troisième fille d'Akhenaton et de Néfertiti. La contre-réforme est puissamment amorcée. Sous l'influence des prêtres et thuriféraires de l'ancienne religion, de l'intendant Ay, homme faible et sans ressort, et de l'ambitieux Horemheb, redouté général, le garçonnet pharaon renoue avec les traditions et prend le nom de Toutankhamon, signe d'Amon, le dieu excommunié rétabli. Conversion strictement politique ? La capitale redevient Memphis, le peuple revient aux anciennes croyances, le soleil Aton se couche pour toujours sur Amarna, la dynastie vit ses derniers moments. Toutankhamon meurt à 18 ans, par accident ou sous les coups d'un assassin, sans avoir pu affermir son pouvoir. Au bout de 70 jours, on l'inhume selon les rites funéraires royaux dans sa maison d'éternité : momification, masque mortuaire, cercueils et sarcophages, quadruples vases canopes pour les viscères, mobilier et objets funéraires, jouets et souvenirs du pharaon enfant. Le grand acte de sa vie s'accomplit. Il entre dans le grand sommeil et commence son ascension vers le Ciel. Triomphe des usurpateurs. Le vieillard Ay prend les rênes du pouvoir pendant 4 ans. Horemheb se saisit ensuite du trône et raye à jamais le nom de Toutankhamon des annales royales. Comment déesse Nout peut-elle résister à l'innocente supplique du dieu enfant ? Bonne fée maternelle, elle le couvre de ses ailes et l'accueille au royaume des étoiles impérissables.

 

 

     

 

Une autre époque pour beaucoup, malheureusement !!! Film poignant !!!

 

 

 

 

 

   Evocation des années de guerre d'Oskar Schindler, fils d'industriel d'origine autrichienne rentre à Cracovie en 1939 avec les troupes allemandes. Il va tout au long de la guerre protéger des juifs en les faisant travailler dans sa fabrique et en 1944 sauver huit cents hommes et trois cents femmes du camp d'extermination de Treblinka.

 Le film fut tourné en 72 jours, pour 23 millions de dollars, le tiers du budget de JURASSIC PARK.
Il remporta sept Oscars : meilleurs film, réalisateur, adaptation, photographie, musique, décors et montage.  Avec les bénéfices générés par le film.

 À l’automne 1939, les Allemands, victorieux de la Pologne, regroupent les Juifs dans des ghettos, comptant s’en servir comme main d’oeuvre à bon marché, en attendant de les exterminer.

 Industriel joueur, bon vivant et coureur de jupons, Oskar Schindler entend utiliser son sens des affaires et ses amitiés au sein du Parti nazi pour profiter de cette situation et faire rapidement fortune. Conseillé par le comptable Itzhak Stern, il obtient de la communauté juive les capitaux nécessaires au rachat d’une fabrique de casseroles que, nécessité aidant, il convertira plus tard en usine d’armements. Les denrées de luxe que lui procure Poldek Pfefferberg, un artiste du marché noir, lui servent à soutirer aux autorités allemandes toutes les autorisations et dérogations nécessaires. Bientôt, l’usine de Schindler, qui n’emploie plus que des Juifs, est connue comme une sorte de havre où ces derniers peuvent, pendant un certain temps, espérer échapper au massacre. Mais la menace se précise. À côté de l’usine, un camp de travaux forcés est dirigé par le commandant SS Amon Goeth, un psychopathe qui s’amuse à tirer sur les prisonniers. En mars 1943, Schindler assiste, impuissant, à la liquidation du ghetto de Cracovie.
Dès lors, il fera tout pour sauver non seulement «ses» Juifs, mais bien d’autres encore, comme Helen Hirsch, qu’il gagne aux cartes contre Goeth. Sa fortune servira à racheter un par un 1100 ouvriers et à les transférer dans une nouvelle usine en Tchécoslovaquie, où ils fabriqueront des obus volontairement inutilisables. À Auschwitz, il découvre l’horreur de l’Holocauste. Lorsque l’Allemagne sera enfin vaincue, Schindler devra, en tant que «criminel de guerre», prendre la fuite avec sa femme Emilie. Mais tous les Juifs qu’il a réussi à sauver, ainsi que leurs descendants, ne l’oublieront jamais. En 1993, les acteurs du film et les Juifs de Schindler rescapés lui rendent hommage sur sa tombe.

 

Christina Aguilera ... here to stay !! Un clip assez top ...

 

 

              

 

 

 

 

   This time, taking it away
I've got a problem, with me getting in the way,
Not by design.
So I take my face and bash it into a mirror.
I won't have to see the pain
This state is elevating, as the hurt turns into hating.
Anticipating, all the fucked up feelings again.
The hurt inside is fading
This shit gone way too far.
All this time I've been waiting
No I can not grieve anymore.
For what's inside awaking
I'm done, I'm not a whore
You've taken everything and oh I can not give anymore.
My mind is done with this
Okay, I've got a question.
"Can I throw it all away?"
Take back what's mine
So I take my time, guiding the blade down the line
Each cut closer to the vein (Bleed, Bleed)
This state is elevating, as the hurt turns into hating.
Anticipating, all the fucked up feelings again.
  The hurt inside is fading
This shit gone way too far.
All this time I've been waiting
No I can not grieve anymore.
For what's inside awaking.
I'm done, I'm not a whore
You've taken everything and oh I can not give anymore.
I'm here to stay Bring it down
Gunna break it down
GUNNA BREAK IT!
This state is elevating, as the hurt turns into hating.
Anticipating, all the fucked up feelings again.
The hurt inside is fading
This shit gone way too far.
All this time I've been waiting
No I can not grieve anymore.
For what's inside awaking.
I'm done, I'm not a whore
You've taken everything and oh I can not give anymore.

 

 

                                 

 

 

 

Minibluff the card game

Hotels