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" Mon p'tit cocon "

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" Mon p'tit cocon "

 

 

 

 

Pierres précieuses ...

 

 

Le diamant

 

 

L'Emeraude

Le rubis

Le saphir

 

M'étonne pas que ce soit elle qui soit prise !!! Quelle grace ...

 

 

 

Demi Moore sera la muse d'Helena Rubinstein en 2007. Glamour et résolument moderne, cette figure hollywoodienne au charisme unique est aussi une femme de caractère.
"Demi Moore correspond parfaitement à la philosophie de beauté d'Helena Rubinstein. Indépendante, puissante, séduisante, tout simplement brillante", déclare Patricia Turck-Paquelier, présidente de l'entité Prestige et Collections International produits de Luxe L'Oréal.
L'actrice, mère de trois filles qu'elle a eues avec Bruce Willis, mariée à Ashton Kutcher, incarne la femme active, libérée, bien dans sa vie et dans sa peau.
Une star heureuse, divine mais pas diva, plus belle que jamais, qui explique "C'est un honneur pour moi que d'avoir été choisie ! Je n'ai pas 20 ans, ni 30, mais je suis certainement différente de ce que la plupart des gens pensent qu'une femme de 40 ans devrait être."

 

Une grande dame ... Edith Piaf, son histoire !!!

 

 

 

 

 

 

  "C'est nous les mômes, les mômes de la cloche, clochards qui s'en vont sans un rond en poche, c'est nous les paumés [...] qui sommes aimés un soir n'importe où..." (Les mômes de la cloche, 1936, V. Scotto - A. Decaye). C'est sous cette image populaire que Piaf apparaît au grand public. La légende veut même qu'Edith Giovanna Gassion, son vrai nom, soit née sur le trottoir du 72 rue de Belleville à Paris, plus précisément sur la pèlerine d'un policier, le 19 décembre 1915. En réalité, elle semble plutôt avoir vu le jour à l'hôpital Tenon, mais il n'en faut pas plus pour que colle à la peau d'Edith cette image "populo". Edith a la vie d'artiste dans le sang: son père Louis, qui est à la guerre, est contorsionniste, et sa mère Annetta, d'origine italo-kabyle, est chanteuse de rue. Edith grandit entre ses deux grands-mères, dont l'une tient un bordel dans l'Eure, à Bernay. Puis après la guerre, son père, engagé dans un cirque itinérant, embarque sa fille avec lui. Trottoir, cirque, chanson, bordel, quelle singulière enfance !C'est pour aider son père au cirque que la jeune Edith commence à pousser la chansonnette. Alors que ses parents divorcent et qu'une demi-soeur, Denise, naît en 1931 du remariage de son père, Edith continue la chanson de rue. A 17 ans, elle rencontre Louis Dupont dont elle tombe enceinte. Mais Edith, née "dans la rue", voit commencer pour elle une longue vie de défaites amoureuses et de malheurs.Le premier de ses malheurs est le décès en 1935 de sa fille Cécelle (Marcelle) d'une méningite. Entre-temps, pour se guérir de sa séparation d'avec P'tit Louis, Edith, mauvaise mère, fréquente la racaille parisienne, truands et marlous. A 20 ans, la voilà seule, orpheline en quelque sorte, au bord de la déprime, de la pauvreté, de la drogue et de la prostitution.Un soir de 1935, elle fait la connaissance de Louis Leplée, gérant du Gerny's, un établissement de spectacle très en vogue à l'époque. Séduit par la jeune femme, il l'invite à chanter quelques titres chez lui, dont Les mômes de la cloche de Scotto. C'est aussi Leplée qui trouve à Edith son surnom de Môme Piaf, afin d'illustrer la petite taille de la chanteuse.Son passage au Gerny's est un succès: Chevalier lui-même, ainsi qu'un certain Jacques Canetti sont subjugués. Canetti lui fait passer sa première séance radio et lui fait enregistrer fin 1935 son premier disque. Mais malgré son succès naissant, la rue la rattrape. Avril 1936: Leplée est assassiné, vraisemblablement par les "protecteurs" d'Edith. Celle-ci passe de mauvais moments avec la police. Les journaux se régalent de ce fait divers.Grâce à Raymond Asso, rencontré quelques temps plus tôt, Piaf sort de la galère. Il lui fait enregistrer en janvier 1937 le titre Mon légionnaire. Raymond et Edith deviennent amants. Plus question alors pour elle de vivre une vie de débauchée. Un seul mot: le travail. Et le travail paye. L'ABC accueille la chanteuse sous son nouveau nom de scène: Edith Piaf. Elle côtoie les Mireille et les Trenet, tourne dans toute l'Europe. La guerre sépare Raymond et Edith, et celle-ci se jette dans les bras d'un débutant, Paul Meurisse, puis le quitte pour Michel Emer, qui lui écrit L'accordéoniste et Le disque usé.Devenue une institution, elle rencontre le tout Paris: Breton, Cocteau (ils mourront le même jour !), ... Mais la guerre la fait fuir. Jusqu'à la fin 1942, elle tourne dans la zone libre. De tournées en amants, la guerre passe. Puis vient la libération. Piaf n'a jamais cessé de chanter, de Paris à Berlin. En 1944, elle fait chanter et devient l'amant d'un certain Yves Montand, alors inconnu. Puis en 1946, elle écrit l'un de ses titres qui feront le tour du monde: La vie en rose. Fin 1947, elle embarque pour New York. Elle y rencontre Marlene Dietrich, et surtout le boxeur Marcel Cerdan. Ils deviennent amants, les "meilleurs amants du monde". De Paris à New York, entre un concert d'Edith et un combat de Marcel, leur amour prend force.Mais le malheur rejoint encore Edith, qui perd son amant le 27 octobre 1949, dans un accident d'avion. Pour lui, elle écrit L'hymne à l'amour, mais la vie ne sera plus jamais comme avant. 1950, Si elle retourne à New York, c'est pour y chanter. Elle s'accompagne d'Eddie Constantine, son nouvel amant, et d'un secrétaire, un certain Charles Aznavour (qui, lui, ne sera jamais son amant).De retour à Paris en 1951, Piaf travaille à imposer une comédie musicale La p'tite Lili, avec Eddie Constantine et Robert Lamoureux. La pièce a un certain succès. Mais de maladies en accidents, Edith tombe dans la drogue (la morphine tue la douleur). Peu à peu, sa vie s'enfonce dans la déchéance. Côté scène, elle obtient toujours le succès, que ce soit avec Jézebel (écrit par Aznavour), ou Je t'ai dans la peau (de Pills et Bécaud).Pills, auteur célèbre outre-Manche, deviendra, entre deux amants et par défi, le mari d'Edith en l'épousant le 29 juillet 1952. Ils s'installent au boulevard Lannes à Paris, appartement que la chanteuse gardera jusqu'à sa mort. La complicité du couple est aussi professionnelle: ils chantent et jouent ensemble (dont Le bel indifférent de Cocteau).Mais Cerdan a détruit, par son absence, la vie d'Edith. Elle suit en 1953 une première cure de désintoxication. S'en suivent des tournées, New York, Mexico, Rio, Paris, et de longs voyages pour oublier. Si elle est une star internationale, sa vie reste une succession d'échecs. Ainsi divorce-t-elle de Pills en 1956. Comme à son habitude, Edith se plaît à "élever" les hommes, à les prendre en main et à en faire des stars.Un certain Jo, Georges Moustaki, n'échappe pas à la règle. Il devient son amant et débute dans la chanson. Ensemble, ils ont un grave accident de voiture en 1958, accident qui ne fait qu'empirer l'état de santé de Piaf et sa dépendance aux produits illicites. Ensemble aussi, ils écriront Milord, un autre grand succès d'Edith.Début 1959, alors qu'elle triomphe une fois de plus à New York, elle s'effondre sur scène. Les opérations se suivent. Piaf n'est plus qu'une femme en sursis. Elle rentre à Paris en piteux état, sans Moustaki qui l'a quittée entre-temps.Malgré son état de santé, elle triomphe en 1961 à l'Olympia, devant le tout Paris. La fin de sa vie est difficile. Les hommes de talent se succèdent pour lui écrire des chansons (Francis Lai, Charles Dumont, etc.) et elle tombe amoureuse d'un certain Théophanis Lamboukas, dit Théo Sarapo, qu'elle épouse le 9 octobre 1962 à Paris.Le mariage est bidon, l'artiste est finie, droguée, épuisée, malade. Quelques concerts l'achèveront. En convalescence près de Grasse, elle y meurt le 10 octobre 1963, et est ramenée en douce à Paris où sa mort est officialisée le 11 octobre, le même jour que le décès de Cocteau, son ami. Elle est enterrée au Père Lachaise devant une foule immense.

 

 

 

 

 

Casanova ... son histoire. Quel Don juan !!!

 

 

 

 Giacomo Girolamo Casanova (en français Jacques Casanova), aventurier célèbre né le 2 avril 1725 à Venise et décédé le 4 juin 1798 à Dux en Bohême (aujourd'hui Duchcov). Casanova usa de pseudonymes dont le plus célèbre est celui de Chevalier de Seingalt. Le peintre François Casanova était son frère. Né de parents comédiens, environné de femmes durant l'enfance (qui jouèrent un rôle premier pour lui comme l'évoque cette citation de ses mémoires : Rien de tout ce qui existe n'a jamais exercé sur moi un si fort pouvoir qu'une belle figure de femme), il commence une carrière ecclésiastique puis entame sa vie d'aventures, exerçant de nombreuses activités — joueur de violon, joueur professionnel, escroc, financier, bibliothécaire, etc. — sillonant l'Europe du XVIIIe siècle en passant des prisons aux cours de souverains ; cela lui permit lors de la rédaction de ses mémoires de brosser un portrait de la société pré-révolutionnaire en dépeignant tout aussi bien les femmes de chambre que les ministres les plus en vue, offrant ainsi un témoignage de premier plan au sujet d'une époque charnière au cours de laquelle il rencontra, entre autres, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau et le pape Clément XIII. Casanova était égoïste, la recherche du plaisir mena son être et pour l'atteindre, il ne dédaignait pas à flouer des dupes et à se moquer des lois. Ses souvenirs — étudiés et confrontés aux faits historiques par les casanovistes, passionnés de la matière — bien que présentant des inexactitudes quant aux dates semblent néanmoins avoir été rédigés sous la conduite de la bonne foi. Cependant, l'auteur a probablement embelli son personnage et dissimulé, à l'évidence, d'ombrageuses facettes de son périple (comme son rôle d'informateur pour la République de Venise).

  Casanova est, avant tout, célèbre au titre de ses aventures galantes qui occupent une place de choix dans ses mémoires : plus d'une centaine de femmes y sont évoquées en tant que « conquêtes », selon ce riche Don Juanl'homme est fait pour donner, la femme pour recevoir. Ces amours furent l'origine de bonheurs et de malheurs infinis pour l'aventurier qui jugeait que si les plaisirs sont passagers, les peines le sont aussi : ces amours lui permirent de rencontrer l'abbé Bernis, futur académicien français de l'Académie française, ambassadeur de Louis XVà Venise avec qui il partagea durant plusieurs mois les faveurs d'une religieuse. (désignée par les initiales M.M) qu'ils retrouvaient alternativement dans un casin — sorte de garçonnière cossue — où lorsque l'un des deux se livrait aux passions charnelles avec leur maîtresse, l'autre observait la scène à travers une tapisserie percée d'une multitude de trous minuscules depuis une pièce cachée dans l'obscurité.
L'abbé de Bernis rejoignit la France et Casanova (suite à ses frasques amoureuses, financières et d'opinions), malgré de puissants soutiens, malgré qu'il clamera toujours son innocence, malgré qu'il aurait dû fuir de Venise comme Monsieur de Bragadin le lui avait proposé et qu'il a refusé, malgré son envie de liberté et de conquête, malgré ce que pourront en dire les gens de son siècle, et malgré qu'il risque de ne plus jamais faire parler de lui, et être enterré pour l'éternité au milieu des médiocres, il fut incarcéré à la prison des Plombs où il reste deux ans. Mais à force de travail, de courage, d'ardeur, avec pour seule pensée l'espoir de partir à l'aventure pour toujours, par la grâce et la créativité il parvient à s'échapper avec un autre prisonnier — c'est l'unique évasion que l'imperturbable prison des Plombs ait connue, et dont le récit sera rédigé par Casanova lui même dans ses Mémoires en 1791 avec une précision et une conaissance des lieux parfaite —. Il gagne Paris où Bernis — alors devenu un ministre de premier plan du royaume — l'appuya ; l'aventurier y construisit alors une belle fortune en lançant une loterie dont le but était de financer l'École Militaire sans imposer davantage les contribuables — le peuple —, loterie dont il sut, par d'habiles manœuvres et de l'audace, s'approprier la paternité et une grande part des bénéfices.

  Agent secret, une mission d'enquête pour laquelle il fut récompensé avec générosité lui fut confiée par la France afin de jauger l'état de ses navires de guerre. Imposteur, escroc et manipulateur (bien qu'il s'en défendit — dans ses écrits il interroge : quel est l'homme auquel le besoin ne fasse faire des bassesses ?), il abusa de la crédulité de la riche Madame d'Urfè en lui faisant croire qu'il était parfaitement initié aux mystères de la Cabale.Se présentant comme trop bon cœur pour briser la destinée de jeunes femmes méritant beaucoup, trop honnête pour se plier à des mascarades amoureuses pour des raisons financières et surtout ne pouvant supporter l'idée de se voir enchaîné par de si puissants liens que ceux du mariage — se marier est une sottise, mais lorsqu'un homme le fait à l'époque où ses forces physiques diminuent, elle devient mortelle... —, il préféra négliger plusieurs propositions importantes de convoler en justes noces. Persuadé que pour que le plus délicieux endroit du monde déplaise, il suffit qu'on soit condamné à y habiter, Casanova parcourut l'Europe à de nombreuses reprises, terminant sa vie en tant que bibliothécaire écrivain voyant la mort comme un monstre qui chasse du grand théâtre un spectateur attentif, avant qu'une pièce qui l'intéresse infiniment finisse. Les 73 années de son existence contées par ce grand libertin regorgent d'aventures, d'anecdotes et de détails sur la société d'alors, cette époque d'éclosion d'idées nouvelles, ce dans un style littéraire aux tournures parfois alambiquées ou sophistiquées d'un précieux — d'un fat même peut-être — mais intelligibles, parfois admirables, souvent savoureuses comme lorqu'il écrivit avec simplicité : je n'ai jamais dans ma vie fait autre chose que travailler pour me rendre malade quand je jouissais de ma santé, et travailler pour regagner ma santé quand je l'avais perdue.

 

 


 

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