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" Mon p'tit cocon "

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" Mon p'tit cocon "

Un grand film !!! Tout y est, personnages, décors, histoire, époque, costumes, ... TOUT !!!

 

 

 

 

 

Jean-Baptiste Grenouille naît en 1744. Enfant solitaire, malade, il devient un jeune homme à part grâce à un don unique : son odorat. Survivant misérablement, il parvient à se faire embaucher comme apprenti chez les maîtres parfumeurs de Paris. Son don lui permet de composer quelques chefs-d'oeuvre olfactifs, mais son but ultime est la mise au point de la fragance idéale, qui lui permettrait se séduire instantanément tous ceux qui le croiseraient. Il est irrésistiblement attiré par le parfum naturel des jeunes filles et va jusqu'à les tuer pour voler leur odeur.

 

 

 

 

                              

 

 

 

 

 

 

 

 

Tenir l'âme en état de marche

Tenir le contingent à distance
Tenir l'âme au-dessus de la mêlée
Tenir Dieu pour une idée comme une autre
un support, une éventualité,
une contrée sauvage de l'univers poétique
Tenir les promesses de son enfance
Tenir tête à l'adversité
Ne pas épargner l'adversaire
Tenir parole ouverte
  Tenir la dragée haute à ses faiblesses
Ne pas se laisser emporter par le courant
Tenir son rang dans le rang de ceux qui sont décidés
à tenir l'homme en position estimable
Ne pas se laisser séduire par la facilité
sous le prétexte que les pires
se haussent commodément au plus haut niveau
et que les meilleurs ont peine à tenir la route
Etre digne du privilège d'être
sous la forme la plus réussie: l'homme.
Ou mieux encore, la femme.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Me voici revenu de la rive incertaine  
 où lamente la lyre abandonnée d'Orphée 
le vent d'en-bas m'emplit de vertige les veines 
et mon double brumeux ne s'est point dissipé 
Après avoir usé ma ressemblance humaine  
les lunes mauves de l'Enfer m'ont patiné  
Mes yeux ? deux diamants d'hiver ou deux fontaines 
Qui fixent un soleil immuable et glacé 
Tel l'arbre aux pas profonds, aveugle de murmures 
secoue dans le sommeil ses nocturnes verdures
  où les soleils défunts mûrissent oubliés :
Le même arbre de jour, que la lumière outrage
Sans feuilles, sans oiseaux, flagellant les nuages
Maudit de ses grands bras anathèmes l'été.

 

                      

 

 

 

Dalida chante ... avec le temps !

 

 

 

 

Avec le temps...

avec le temps, va, tout s'en va
on oublie le visage et l'on oublie la voix
le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien

avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
l'autre qu'on devinait au détour d'un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
avec le temps tout s'évanouit

avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules
à la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort
le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule

avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien
l'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous
devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens
avec le temps, va, tout va bien

avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie les passions et l'on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid

avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
et l'on se sent floué par les années perdues- alors vraiment
avec le temps on n'aime plus

 


 

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