Je glisse ma main dans tes cheveux.
Je descends la caresse dans le creux de ta nuque.
Je pose la main sur ton dos et t'apaise,
dans une douce langueur qui t'endort.

Un baiser léger sur la tempe pour te dire
dors mon cher, je te veille,
dors, je te regarde

Dors, je pose la main sur ton bras
pour m'assurer que tu es toujours là
et dans ton souffle léger
je pose l'esquisse d'un baiser.

Le creux de ton épaule est doux
j'y pose donc les lèvres doucement
et m'enfuis
pour te laisser reposer

Douce nuit, mon joli.
Le sommeil s’est infiltré,
et par la lucarne laissant passer
un rayon de lune qui te frôle,
je te regarde, ton souffle régulier,
est léger et délicat mais,
Chuttttttt tu chasses le papillon, chuttttttt

Je te caresse dans le secret de ma pensée,
et mon esprit t’insuffle soit bien : dors, dors, dors.
Je me garde de t’éveiller et dans un rêve éveillé,
je te couvre de baisers

  La nostalgie m'attire à toi, ô charme et beauté
tu m'as transformé en un rossignol chantant
dans tes mains on s'est fait des promesses, en parfait accord
le jardin dans lequel nous nous sommes retrouvés a fleuri
il y a longtemps nous avons vécu des jours en savourant nos espoirs
on s'est fait des promesses, en parfait accord.
Un jour les fleurs répandront leur parfum en signe de nos retrouvailles
et nous connaîtrons le bonheur rêvé que nous avons attendu

 "Sans vous,je ne suis rien,
Et dans vos bras,je suis bien,
On pourrait croire que c'est le destin,
Qui nous tient par la main.

"Quelle nuit",vous direz.
je confirme,c'est vrai,
Quelles caresses furent échangées,
 et l'on vit même l'aube pointer.

Pourtant ma mie,quelque chose me chagrine,
C'est sûrement dû à votre grise mine,
Depuis quelques mois,vous grossissez,
Est-ce là un virus non-identifié

Maux de tête et évanouissements,
Vous avez,
Vous qui,auparacvant,
Bougiez et dansiez

Quand nous avons vu le médecin,
il s'est exclamé,
"Madame,je ne me moque point,
Mais vous portez un bébé."

Ma tendre,
Me voilà père
Longtemps je n'arrêtais d'attendre,
Voici une nouvelle ère."