Les tâches ménagères étaient celles de la femme, mais un soir, Johanne arrive du travail pour trouver les enfants lavés, une brassée de lessive dans la laveuse et l'autre dans la sécheuse. Le souper était sur la cuisinière et la table mise.
Elle en fut très étonnée !
La raison en était que Jean avait lu un article qui mentionnait que les femmes qui travaillent à temps plein et qui doivent faire toutes les tâches ménagères étaient trop fatiguées pour faire l'amour.
La soirée se passa bien et le lendemain, Johanne en fit part à ses compagnes de travail.
« Nous avons eu un très bon souper. Jean a même nettoyé. Il a aidé les enfants pour leurs devoirs, plié les vêtements et les a même rangés.
J'ai eu une soirée formidable ».
« Mais que s'est-il passé après? »
« Oh, c'était parfait aussi. Jean était trop fatigué... »   

 Ma femme et moi étions assis dans le lit la nuit dernière, discutant des choses de la vie.
Nous parlions de l'idée de vivre ou mourir.
Je lui dis : "Ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d'une machine et de liquides. Si tu me vois dans cet état, débranche tous les éléments qui me maintiennent en vie".
Sur ce, elle s'est levée, a débranché le câble de la TV et m'a enlevé ma bière.

 Deux chats discutent:
-"Mon peintre préféré c'est PICASSO et toi ??
-"Moi c'est WALT DISNEY.
-"Mais ce n'est pas un peintre !
-"Je sais mais il dessine bien les souris.   

 C'est un vétérinaire qui rencontre une puce. Il lui enlève une patte et lui dit "Saute". La puce obéissante saute. Il fait la même chose avec les 4 autres autres pattes. À la dernière patte il lui dit "Saute". Mais comme la puce n'a plus de pattes, elle ne peux plus sauter.
Donc le vétérinaire note dans son calpin : "Quand on enlève toutes les pattes à une puce celle-ci devient sourde"   

 Lorsque je tirerai l’ultime révérence,
Je revivrai, peut-être, en tout ce qui est beau :
Dans la force du vent qui s’enfuie, le silence,
Les arbres, les prairies, les taillis, les roseaux,
Je reviendrais, portée par les ailes d’un ange,
Couvrant le vert des prés de rosée matinale,
Son parfum, qui aura la saveur de l’orange,
Laissera, à l’aurore, un baiser virginal.

 Dans les épis de blé, les rameaux des forêts,
Dans les flocons de neige ou les goûtes de pluie,
Les rayons amoureux d’un soleil aux aguets,
Dans les feuilles jaunies par l’automne ou les fruits.