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" Mon p'tit cocon "

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" Mon p'tit cocon "

 

 

 

 

 

 

 Erin Gruwell, enseignante novice de 23 ans, a choisi comme premier poste un lycée difficile de Long Beach. Ses élèves l'ignorent superbement et se regroupent en clans, prêts à s'affronter au moindre prétexte. L'ambiance empire au fil des jours, en dépit des efforts sincères et maladroits d'Erin pour prendre en main cette classe d'"irrécupérables". Un incident mineur met finalement le feu aux poudres, donnant du même coup à Erin l'occasion d'ouvrir le dialogue avec les jeunes. Avec tact et humour, en évitant d'instinct le piège du paternalisme, Erin parvient à instaurer avec la classe un vrai rapport de confiance. Pas à pas, à travers l'usage de la parole puis de l'écriture, elle accompagne ses élèves dans une lente et délicate reconquête de leur amour propre, libérant en eux des forces, des talents et une énergie insoupçonnés...

 

 

 

 

Tiré du net ... Le journal d'Ophélia

 

 

 

 

 

  la plus belle lettre d'amour date du 18 juin 2001. c'est un lundi. il fait chaud. je porte une robe noire décolletée et des chaussures à brides rouge foncé. le matin j'ai pris le métro et puis j'ai ri encore, le front collé à la vitre entre les stations sèvres-babylone et mabillon de la ligne dix, lorsque les murs soudain s'écartent et que pendant quelques secondes, très courtes vraiment, le métro fou traverse la station de métro fantôme de la croix-rouge. c'est lui qui me dit ça dans la lettre, que la station fantôme se situe à l'intersection des rues de grenelle et du dragon, à l'endroit dit : de la croix-rouge. c'est la plus belle lettre d'amour du monde et elle parle de ça, de la station fantôme entre sèvres-babylone et mabillon qui s'appelait croix-rouge. Tout à l'heure en allant rejoindre D, j'ai collé mon front à la vitre entre sèvres-babylone et mabillon et j'ai souri encore. je ne passe plus souvent par ici. j'ai quitté le lycée et puis cette part secrète de ta vie. je me souviens de tout pourtant, chaque chose et chaque instant. la motte-piquet-grenelle, une fille sanglote sur un banc. j'ai pleuré là aussi, pleuré pour toi sur ce presque même siège, il y a longtemps. je lui souris tout doucement. la motte-piquet-grenouille, je descends bien avant auteuil maintenant. lundi 18 juin 2001, s'il avait fallu alors donner des raisons de rester vivant je n'aurai donné que ça : les pierres jetées par les fenêtres, rue d'auteuil, les bouteilles à la mer, l'évanouissement à chaque pas. paris n'avait plus d'autre corps que le tien. j'étais déchirée d'amour et de tristesse, j'ai tout déchiré autour de moi je ne regrette rien. la plus belle lettre d'amour du monde date du 18 juin 2001. je m'en souviens très bien. elle ne dit rien d'autre peut être que ce qui a déjà été dit mille fois entre les lignes, de cahier, de métro. tout ce qui est caché dans les mots. et qu'est-ce que ça peut faire maintenant, si tu ne m'aimes plus, si je ne t'aime plus, qu'est-ce que ça peut faire vraiment ? la plus belle lettre d'amour c'est celle-là. c'est celle qui hurle en secret dans le langage. c'est celle qui marque le signe, le corps écrit, l'amour comme la mer qui avance. personne ne sait cela. personne ne saura jamais. personne n'écrit comme toi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Tu te caches évitant mes prises, comme dans un jeu d’éveil des sens,
Où l’envie de toucher, doit se mériter.
À tâtons mains en avant balayant l’espace dans tous les sens, souffle retenu,
L’ouie en quête du moindre bruit.
A force d’avancer, tout à coup entre tes jambes dénudées pour la circonstance, je tombe dans sur ton gazon, caché à peine de ton slip, déjà humide par tant de recherches infructueuses et d’attente. Comme un fauve trouvant sa proie, je te bascule, te chevauche comme un cavalier, décidé à te découvrir, le sexe à la main.
Dressé nu comme un étendard, j’entreprends sur ton corps couché, de faire le voyage de préludes avec comme ce seul objet de sensation.
Lentement le prépuce dénudé, je le glisse lentement sur ta poitrine….. Entre les seins comme un aveugle dans ce noir si dense, si recherché, je te cherche,
Prisonnier de tes désirs. Dans cet étau, je me glisse d’avant et arrière mimant déjà
L’assaut final, j’amplifie les mouvements pour effleurer tes lèvres, ouvertes comme pour l’accueillir et le recouvrir de bisous, et de « lèches » lentes et mouillées. Parfois d’un geste plus hasardeux je le plonge dans ta bouche, le bout offert aux caresses tièdes de ta langue, le lapant comme une glace pour éveiller encore plus en moi ce feu sacré de l’envie.
Tout comme d’ une seule pièce, deux corps enlacés
Des mots entremêlent de soupirs lâchés
Sensations délicieuses d’un éveil effréné
Etendus avec volupté dans ce bain d’affection

 

 

 

 

 

 

Quand je vois ton  regard qui s’enflamme à ma vue,
Je ne peux m’empêcher de vouloir te serrer
Entre mes tendres bras et de te caresser,
Alors je sens en moi  que le calme n’est plus.

Comme un puissant torrent, mes sentiments déferlent
Balayant toute peur, libérant le chemin
Que mon amour se fraie de mon cœur à mes mains
Qui parcourent ton corps suave  qui m’appelle.

Avec un grand plaisir, j’ôte le superflu,
Pour que puissent s’unir nos corps à présent nus.
Et de fougueux baisers viennent nous emporter
Au sein  de cette ivresse où nos sens affolés,

Commencent à rugir en soupirs de plaisirs.
Et tu m’offres ton sein, me laisse pénétrer
Le sanctuaire sacré de ta félicité,
Et nos cœurs, et nos corps  s’embrasent de désir.

Dans ce feu dévorant, cet amour qui explose,
L’univers disparaît, ne laisse que l’osmose…
Nos âmes emmêlées renaissent à la vie
Et  réveillent en nous ce rêve d’infini.

 

 

 

 

 

 

 

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